Notes et références
- Concernant les ateliers libres, ce sont les élèves en se groupant qui opèrent librement le choix du chef d’atelier (ou Patron).
Ceux-ci sont dûment reçus et officiellement inscrits à l’École, ils suivent les mêmes cours et prennent part aux concours et examen dans les mêmes conditions que leurs camarades des ateliers officiels, mais doivent, malgré toutes les apparences de titre à la gratuité, payer de leurs propres deniers la location, l’entretien, l’éclairage, le chauffage et l’assurance de leur Atelier et le paiement de leurs enseignants. Voir la « brève historique » de juin 2015. - Nommé professeur par arrêté ministériel du 09/11/1883
- Nommé par arrêté ministériel du 19/02/1910
- Il lui est fait grief en haut lieu le feu de cheminée dévastateur qui a eu lieu au Louvre en décembre 1909 et de n'avoir pas suffisamment activé le déménagement du pavillon de Flore par le ministère des colonies
- Nommé professeur par arrêté ministériel du 20/10/1942 (J.O du 05/11/1942
- Règlement du concours de fondation : Ces prix institués par Monsieur Gaston REDON, Architecte en chef du Gouvernement, Membre de l'Institut, sont attribués chaque année à la suite d'un concours de Rome aux élèves français de la 1ère classe d'Architecture, de l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris, ayant obtenu le plus de valeurs en médailles sur projets rendus. Le nombre des concurrents à admettre est de 60 au maximum. Ce concours aura lieu dans les deux mois précédant l'épreuve de 24 heures du concours de Rome et sera comme une répétition de cette épreuve. Il consistera en une esquisse de plan, grandeur "grand aigle " exécutée en loges en 12 heures. Le programme est donné par la commission dite « des Concours de fondation ».
Il peut être décerné cinq prix de : 1.046 - 800 - 600 - 500 et 400 francs.
Les prix non décernés une année le seront les années suivantes. Les élèves ayant obtenu un prix dans un précédent
concours ne peuvent concourir de nouveau que pour un prix supérieur - Source Bulletin de la Grande Masse des Beaux-Arts de juillet 1931 p 450-451