Filiation de l’atelier libre d’architecture Godefroy

ÉCOLE DES BEAUX-ARTS

De 1919 à 1968

L’article publié ici se rapporte à la filiation de l’atelier libre d’architecture à l’École des Beaux-Arts de Paris créé en 19191, origine GODEFROY. Cette filiation d’un atelier libre se singularisera par le fait, très rare, qu’à deux reprises les chefs d’ateliers seront démis de leur fonction par leurs propres élèves.

GODEFROY > LEFÈVRE et FERRAN > LABRO > FAUGERON

Jules GODEFROY (05/05/1863 – 08/03/1928)

– Élève de Jules ANDRÉ et de LALOUX, admission en 1884, 1ère classe en 1886, diplôme en 1891.

– Architecte du Ministère des postes et télégraphes. Il construit, entre autres, une salle des fêtes à Suresnes en collaboration avec Édouard BAUHAIN2en 1893, le musée et la bibliothèque de Périgueux en collaboration avec Charles PLANCKAERT3en 1894, le monument commémoratif au président Sadi CARNOT (1837 – 1894) avec le Sculpteur Louis CLAUSADE4érigé en 1897 à Limoges, le monument commémoratif au peintre Louis FRANÇAIS (1814 – 1897) avec le Sculpteur Émile PEYNOT5érigé à Plombières-les-Bains (Vosges) en 1901, l’hôtel de Préfecture la Haute-Vienne à Limoges (1900 à 1905), la caisse d’épargne et tribunal de commerce à Flers (Orne), un groupe scolaire et une salle des fêtes à Suresnes, l’hôtel des postes de Limoges en 1909, l’École nationale de vannerie à Faye-Billot (1908 à 1909, Haute-Marne), la chambre de commerce et musée industriel de Tourcoing en collaboration avec Charles PLANCKAERT (1903 à 1906), le central postal Littré à Paris (en 1914), l’hôtel des postes de La Palisse à Bayonne en collaboration avec Joseph et Jean SOUPRE6, l’hôtel des postes de La Rochelle, le central postal Élysée et le central postal du Louvre à Paris.

Jules GODEFROY : Carte postale de l’hôtel de Préfecture de la Haute-Vienne à Limoges, 1900-1905. / Source site internet limogespassionnement.wordpress.com
Jules GODEFROY : Carte postale de la caisse d'épargne et tribunal de commerce à Flers. / Source site internet geneanet.com
Jules GODEFROY : Carte postale de l’hôtel des postes de Limoges, 1909. / Vue sur un site internet de vente en ligne le 21/08/2024.
Jules GODEFROY : Carte postale de l’École nationale de vannerie à Faye-Billot, 1908-1909. / Source site internet delcampe.net
Jules GODEFROY : Photographie de la chambre de commerce et musée industriel de Tourcoing, 1903-1906. / Source Ville de Tourcoing.
Jules GODEFROY : Photographie 1990 du central postal Littré à Paris, 1914. / Source site internet histelfrance.fr, collection C.R-V.
Jules GODEFROY : Photographie de l’hôtel des postes de La Palisse à Bayonne. / Source site internet mediabask.eu
Jules GODEFROY : Carte postale de l’hôtel des postes de La Rochelle. / Source site internet geneanet.com

Chef d’atelier libre de 1919 jusqu’au 08/03/1928, date de son décès. L’atelier est situé entre 1919 et 1923 au 53 rue de Seine à Paris (75006), puis par la suite au 28 rue Bonaparte à Paris (75006). Auparavant Jules GODEFROY avec Eugène FREYNET7fondent en 1891 un atelier préparatoire au concours d’admission à l’École, atelier situé au 4 rue du Dragon à Paris (75006). Le premier Massier (1920) de l’atelier Godefroy est Robert BOURIN8

Page de couverture du programme du spectacle musical donné dans l’atelier Godefroy – Freynet le 22 décembre 1899 / Source collection particulière.

– Après la création officielle de la Grande Masse des Beaux-Arts (janvier 1926), Jules GODEFROY est le tout premier chef d’atelier à soutenir financièrement (don de la somme de 500 francs) et à soutenir moralement l’action de l’association. Ce dernier, dans un courrier9adressé au Grand Massier Président s’exprime ainsi :

” Mon Cher Grand Massier,

Vous voulez grouper, sans distinction d’ateliers, les Peintres, les Sculpteurs, les Architectes, en une Association unique. Celle-ci n’entretiendrait pas seulement une bonne camaraderie ; elle maintiendrait les bonnes traditions de notre chère École des Beaux-Arts ; elle créerait surtout entre tous les Élèves une solidarité non seulement spirituelle, morale, mais qui pourrait encore se traduire à l’occasion par une aide matérielle donnée à ceux qui auraient à souffrir de l’injustice du sort.

Quel est l’Ancien, dont les plus chers souvenirs ne cessent de se reporter sur l’heureux temps de l’École, qui n’approuverait pas une aussi noble idée et ne l’encouragerait pas ?

En somme vous voulez fonder une véritable société de secours mutuels. À une époque où l’homme, réduit à ses propres forces, surtout quand ce sont celles de l’esprit, risque si vite de se trouver paralysé, si ce n’est anéanti, vous désirez associer vos forces entre artistes. Je ne saurais trop vous approuver.

À côté des avantages matériels que vous pourrez trouver à vous constituer dès l’école en véritable force sociale, corporative, si je puis dire, je discerne dans votre projet un autre avantage. Jamais architectes, peintres, sculpteurs, vous ne vous rapprocherez, vous ne vous fréquenterez, vous ne vous unirez assez. Votre association que la dureté des temps vous aura imposée peut même aider au développement de l’art français. Vous créez votre association pour vous aider les uns les autres, au milieu des difficultés de plus en plus grandes de la vie, vous vous apercevrez bientôt quelle grande force vous aurez gagnée à rapprocher vos esprits, à élargir cette camaraderie trop étroite de l’atelier sans en relâcher pour cela les liens, sans méconnaître que c’est là que se fondent les plus grandes amitiés de la vie.

Quels grands projets pourront en effet sortir de cette camaraderie élargie que vous allez réaliser entre architectes, peintres sculpteurs. Souvenez-vous seulement qu’à toutes les grandes époques de l’art ils collaborèrent ensemble !

En somme, les élèves de l’École des Beaux-Arts vont tous pouvoir se connaître entr’eux, pour s’aider entr’eux, pour défendre entr’eux les traditions auxquelles ils sont attachés. C’est dire que dès l’école ils vont pouvoir commencer cette collaboration qu’ils n’auront qu’à continuer ensuite, quand ils en seront sortis. C’est ainsi que la date de la fondation de votre association peut devenir une grande date de l’histoire de notre École des Beaux-Arts, peut-être même de l’Art tout court.

C’est le souhait que je fais mes chers amis.

– Le Conseil de la Grande Masse réunit en octobre 192610décide d’inscrire Jules GODEFROY comme « Membre Fondateur de l’Association ».

Camille LEFÈVRE et Albert FERRAN

Camille LEFÈVRE (02/07/1876 – 21/08/1946)

– Élève de LALOUX, admission en 1895, 1ère classe en 1899, diplôme en 1903 / Logiste au Prix de Rome d’Architecture en 1903, 1er Grand Prix de Rome d’Architecture en 1905.

Camille LEFÈVRE : Projet 1er Grand Prix de Rome 1905, sujet "Un château d'eau", façade principale, aquarelle, plume et crayon sur papier. / Source E.N.S.B.A.

– Architecte en chef des Bâtiments civils et Palais nationaux, chargé du Palais du Louvre et des Tuileries en 1922, aménage les Nymphéas de Claude Monet dans l’Orangerie des Tuileries, inauguration le 17 mai 1927, aménage de nombreuses salles au musée du Louvre entre 1926 et 1933, architecte au Crédit foncier de France, inspecteur général des Bâtiments civils et palais nationaux en 1930, membre du Conseil supérieur des Bâtiments civils; chargé de la reconstruction de la région de Coucy-la-Ville (Aisne) après la Première Guerre mondiale, participe aux débuts de la reconstruction de la ville de Tours autour de la rue Nationale après la Seconde Guerre mondiale, membre du Comité national de l’urbanisme.

Albert FERRAN (07/08/1886 – décédé en novembre 1952)

– Américain de parents français, présenté par l’ambassade des Etats-Unis en France le 11 avril 1904, élève d’UMBDENSTOCK puis de LALOUX, admission en 1905, 1ère classe en 1908, diplôme en 1911 / Logiste au Prix de Rome d’Architecture en 1912, 1er Grand Prix de Rome d’Architecture en 1914.

– Inspecteur général des Bâtiments civils et palais nationaux, membre du Conseil général des Bâtiments de France, architecte en chef des Tuileries 1930-1943, « Professor of Design at the Massachusetts Institute of Technology à Boston » nommé fin 1921, présence avérée en 1922-23, auteur d’un témoignage personnel : “The Teaching of architecture in the United States In Conection With a Short History of the Ecole Des Beaux-Arts”, The Journal of the American Institute Architects, XII, Aug. 1924, p. 359-363.

LEFÈVRE et FERRAN, chefs conjointement d’atelier libre de 1928 jusqu’au 24/11/1938, date à laquelle les élèves de l’atelier décident de changer de chef d’atelier (voir plus loin avec Georges LABRO).

L’atelier expulsé du 28 rue Bonaparte à Paris (75006) à la mort de GODEFROY par le propriétaire des locaux, déménage en novembre 1929 au 1 rue du Pont de Lodi à Paris (75006). En mai 1934, l’atelier intégrera le 4ème étage du bâtiment nouvellement construit au 1 rue Jacques Callot à Paris (75006), bâtiment dédié aux ateliers libres dépourvus à cette époque de locaux convenables ou devant assumer le paiement de loyers exorbitants.

Carte d’invitation de l’atelier Lefèvre Ferran pour l’avant Bal des Quat’Z’Arts 1930, dessin de E. ROSEC / Source Association 4’Z’Arts.

Georges LABRO (13/01/1887 – 15/01/1981)

– Élève de Charles LEMARESQUIER (en juillet 1905), admission en 1906 puis élève de LALOUX, 1ère classe en 1908, diplôme en 1919 / 1er Second Grand Prix de Rome en 1921.

Georges LABRO : 1er Second Grand Prix de Rome d’Architecture 1921, sujet "Une manufacture de tapisseries et de tissus d’art", façade principale. / Source publication "Les Concours d'Architecture de l'année scolaire 1920-1921 de l’École Nationale des Beaux-Arts" - Paris, A.Vincent.

– Architecte de l’Administration des P.T.T., architecte en chef des Bâtiments civils et palais nationaux. Il construit, entre autres, l’hôpital Pasteur à Berck-Plage (1925), le centre téléphonique au Vésinet (1930), l’aménagement du bureau de poste au 108 boulevard Hausmann à Paris (1932), le bureau de poste à Chelles (1932 ?), le centre téléphonique Ornano rue Marcadet à Paris (1932 à 1933), le monument à la mémoire du Président DOUMER à Aurillac en collaboration avec le Sculpteur Armand MARTIAL11(inauguration en juillet 1934), le bureau de poste de la Courneuve, le Pavillon du Thermalisme à l’exposition universelle de Paris en 1937 et l’aéroport du Bourget (1935 à 1937/inauguré le 12/11/1937).

Georges LABRO : Photographie, vue partielle de la façade principale du centre téléphonique du Vésinet, 1930. / Source site internet histelfrance.fr, collection C.R-V.
Georges LABRO : Plan élévation septembre 1931 de la façade principale du bureau de poste de Chelles. / Source site internet archiwebture.citedelarchitecture.fr
Georges LABRO : Carte postale du bureau de poste de Chelles, 1932 ? / Source site internet delcampe.net
Georges LABRO : Photographie, vue partielle de la façade principale du centre téléphonique Ornano, 1932-1933. / Source site internet archiwebture.citedelarchitecture.fr
Georges LABRO : Photographie, vue partielle de la façade principale du centre téléphonique Ornano, 1932-1933. / Source site internet paris-promeneurs.com
Georges LABRO : Carte postale du monument à la mémoire du Président DOUMER à Aurillac, 1934 / Source site internet cpauvergne.com
Georges LABRO : Carte postale du bureau de poste de la Courneuve. / Source site internet delcampe.net
Georges LABRO : Photographie du Pavillon du Thermalisme à l’exposition universelle de Paris, 1937. / Source site internet messynessychic.com
Georges LABRO : Dessin perspective de la façade principale de l’aéroport du Bourget. / Source revue « L'Architecture d'Aujourd'Hui », n°2 février 1936.
Georges LABRO : Photographie de la façade, côté piste, de l’aéroport du Bourget. / Source archives du département de la Seine-Saint-Denis.

Chef d’atelier libre de décembre 1938 jusqu’à fin septembre 1952 date à laquelle les élèves de l’atelier décident de changer de chef d’atelier (voir plus loin), avec comme assistant principal, Jean FAUGERON. Auparavant Georges LABRO assiste Victor LALOUX dans son atelier libre puis fonde en 1936 son propre atelier libre. L’atelier est situé de 1936 à décembre 1938 au 21 rue de Seine à Paris (75006) puis à partir de cette dernière date, l’atelier est situé au 4ème étage du bâtiment du 1 rue Jacques Callot à Paris (75006). En novembre 1946, on dénombre 84 élèves fréquentant l’atelier.

Courrier du 15 décembre 1938 de Robert BOUCHET, Massier de l’atelier Lefèvre et Ferran adressé au Directeur général des Beaux-Arts l’informant que Georges LABRO a été choisi par les élèves pour prendre la succession de l’atelier. / Source Archives Nationales Pierrefitte AJ-52-1043, consultées le 1er octobre 2023.

Concernant Robert BOUCHET12.

– 1 élève 1er Grand Prix de Rome d’Architecture :

  • En 1944 : Raymond GLEIZE (1913 – 1992).

« Quand deux 1ers Seconds Prix de Rome se retrouvent pour discuter ensemble ». Photographie datant de juin 1973 avec Otello ZAVARONI (à gauche), 1er Second Grand Prix 1937 et Georges LABRO (à droite), 1er Second Grand Prix 1921. / Source collection part.

Jean FAUGERON (11/12/1915 – 22/04/1983)

– Élève de DEFRASSE, admission en 1936 puis élève de Charles LEMARESQUIER, 1ère classe en 1941. / Logiste au concours du Prix de Rome en 1943, 1er Second Grand Prix de Rome en 1945, logiste au concours du Prix de Rome et dernière mention le 8 mars 1946 (n’a pas passé son diplôme).

– Architecte en chef des Bâtiments civils et palais nationaux, conservateur en chef du Palais de Chaillot jusqu’en janvier 1983. Il construit, entre autres, le pavillon de la France à l’Exposition universelle de Montréal au Canada (1967), le centre paroissial Jean-XXIII à Saint-Quentin dans l’Aisne (1969), le lycée Sévigné à Charleville-Mézières (vers 1970), un ensemble de logements dans le quartier de la Brèche à Créteil (vers 1970), un ensemble de logements, résidence « La Proue », sur l’île Beaulieu à Nantes (1970), la maison des Arts de Créteil (inaugurée en 1977). Dans les projets non construits, FAUGERON participera au projet de construction du ministère de l’Éducation Nationale en 1967 et au projet pour la rénovation des Halles de Paris en 1968.

Jean FAUGERON : Photographie du pavillon de la France à l’Exposition universelle de Montréal au Canada (1967). / Source site internet sourceflickr.com
Jean FAUGERON : Photographie du centre paroissial Jean-XXIII à Saint-Quentin dans l’Aisne (1969). / Source site internet inventaire.iledefrance.fr
Jean FAUGERON : Photographie du bâtiment de logements dans le quartier de la Brèche à Créteil (vers 1970). / Source site internet paris-promeneurs.com
Jean FAUGERON : Photographie de l’ensemble de logements sur l’île Beaulieu à Nantes (1970). / Source site internet paris-promeneurs.com
Jean FAUGERON : Carte postale de la maison des Arts de Créteil (inaugurée en 1977). / Source site internet archipostalecarte.blogspot.com
Jean FAUGERON : Dessin perspective du projet pour le ministère de l’Éducation Nationale (1967). / Source site internet dannismm.tumblr.com

– Chef d’atelier libre de fin septembre 195213jusqu’à 1968.

Compte-rendu par Jean-Claude PERROT, Massier de l’atelier Labro, de la réunion générale du 22/09/1952 ayant décidée de choisir Jean FAUGERON pour prendre la succession de l’atelier. / Source Archives Nationales Pierrefitte AJ-52-1043, consultées le 1er octobre 2023.

Concernant Jean-Claude PERROT14.

– De 1952 à juillet 1965 l’atelier Faugeron est situé au 4ème étage du bâtiment du 1 rue Jacques Callot à Paris (75006), puis à partir de la rentrée scolaire 1965/1966 l’atelier est logé avec les autres ateliers du « Groupe C » au Grand-Palais à Paris dans des locaux de 154m².

– Participe en 1969 à la fondation de l’Unité Pédagogique d’Architecture n°6 (U.P.A. 6) où il sera enseignant (situation avérée encore en février 1971).

Notes et références

  1. L’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts est divisée en trois sections, savoir , Peinture, Sculpture et Architecture.

    A la section de Peinture se rattachent la Gravure en taille-douce, la Gravure à l’eau-forte, la Gravure sur bois et la Lithographie. A la section de Sculpture, se rattache la Gravure en médailles et en pierres fines.

    Il y a lieu de distinguer, à Paris, deux catégories d’ateliers d’Architecture : les ateliers dits « officiels ou intérieurs » et les ateliers dits « libres ou extérieurs » affiliés toutes deux pédagogiquement à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts.

    Concernant les ateliers libres, ce sont les élèves en se groupant qui opèrent librement le choix du chef d’atelier (ou Patron).

    Ceux-ci sont dûment reçus et officiellement inscrits à l’École, ils suivent les mêmes cours et prennent part aux concours et examen dans les mêmes conditions que leurs camarades des ateliers officiels, mais doivent, malgré toutes les apparences de titre à la gratuité, payer de leurs propres deniers la location, l’entretien, l’éclairage, le chauffage et l’assurance de leur Atelier et le paiement de leurs enseignants. Voir la brève historique de juin 2015.

  2. Edouard BAUHAIN (1864 – 1930), élève de Jules ANDRÉ et de LALOUX, admission en 1885, 1ère classe en 1890
  3. Charles PLANCKAERT (1861 – 1933), élève de Jules ANDRÉ et de LALOUX, admission en 1883, 1ère classe en 1885, diplôme en 1887.
  4. Louis CLAUSADE (1862 – 1899), élève de FALGUIÈRE, 1er Second Grand Prix de Rome de Sculpture en 1892.
  5. Émile PEYNOT (1850 – 1932), élève de JOUFFROY, 1er Grand Prix de Rome de Sculpture en 1880.
  6. Jean SOUPRE (1894 – 1961), élève de Pierre ANDRÉ, admission en 1913, 1ère classe en 1920, diplôme en 1922 / Joseph SOUPRE (1894 – 1960), frère jumeau de Jean, élève de Pierre ANDRÉ, admission en 1913, 1ère classe en 1920, diplôme en 1923.
  7. Eugène FREYNET (1862 – 1937), élève de Jules ANDRÉ et de LALOUX, admission en 1883, 1ère classe en 1888, diplôme en 1892.
  8. Robert BOURIN (1895 – 1967), élève au concours d’admission à l’École dans l’atelier préparatoire Godefroy et Freynet, admission en 1919, puis élève de GODEFROY, 1ère classe en 1921, diplôme en 1926.
  9. Courrier de Jules GODEFROY publié dans le tout premier bulletin de la Grande Masse de mai 1926, pages 10 et 11.
  10. Voir bulletin de la Grande Masse d’octobre 1926, page 1
  11. Armand MARTIAL (1884 – 1960), élève de COUTAN, 2ème Second Grand Prix de Rome de Sculpture en 1912, puis 1er Grand Prix en 1913.
  12. Robert BOUCHET (1913 – 1974), élève de LEFÈVRE et FERRAN puis de LABRO, admission en 1931, 1ère classe en 1934, diplôme en 1939
  13. Suite à des divergences de vue « artistiques » entre LABRO et son second, FAUGERON, ce dernier prendra la décision de « renvoyer  » le Chef d’atelier. Les élèves de l’atelier confirmeront cette disposition lors d’une assemblée générale du 22/09/1952 (voir ci-dessous). LABRO tentera, sans succès, de poursuivre sa carrière d’enseignant Chef d’atelier.
  14. Jean-Claude PERROT (1929 – 2002), élève de ZAVARONI (octobre 1945) puis de LABRO (octobre 1947) et enfin de FAUGERON (à partir de septembre 1952), admission en 1949, 1ère classe en 1958, diplôme en 1965.