Disque "Fanfares des Beaux-Arts"
Fanfares Octave CALLOT, Bonaparte VISCONTI & Aimé VISCONTI
Production Grande Masse - Microsillon 30cm, réf. : FBA 1.30 - 33T - 1973

Publication Auteur
Août 2020
Pierre-Edouard CALONI
dit " Calo "

Voilà un disque qui a marqué les fanfares de l'École et celles qui ont suivi, tant il a été pris comme référence par les plus jeunes. Combien de fois l'ai-je écouté, je ne sais. Il est aussi le seul disque produit par la Grande Masse des Beaux-Arts à l'instigation de son grand massier de l'époque, Frank HINDLEY (atelier La Mache).

Ce disque est une première car enregistré en public lors d'une fête d'atelier. L'Atelier La Mache dont l'histoire nous est racontée par Samoyault sur ce même site(1), était installé depuis 1929 au 13 rue Visconti, dans des locaux vétustes appartenant à la Ville de Paris. "...Les autres bâtiments de la parcelle sont presque tous des taudis, dans un état "de totale insalubrité". Il y a notamment des constructions dans la cour uniquement en rez-de-chaussée occupées par les Beaux-Arts... C'est Othello ZAVARONI(2) qui, le premier, signe le 10 juillet 1947 avec la ville de Paris l'engagement de location qui lui permet d'installer un atelier dans ces locaux. A cette époque, la vielle porte cochère du 13 étant condamnée, l'entrée dans les bâtiments s'effectue par le 15. Cet atelier, qui deviendra le célèbre atelier La Mache, accueille jusqu'à 150 élèves architectes qui y travaillent jour et nuit et très bruyamment (au clairon ou au piano mécanique) jusqu'à exaspérer les riverains qui finiront par porter plainte en 1957.

Le sculpteur Feltrin, n'en pouvant plus, aurait jeté plusieurs de ses ébauches sur l'atelier, en contrebas du sien, et aurait systématiquement brisé les vitres accessibles avec sa canne...

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Vue panoramique de l'atelier(3)


En 1961, M. Berry, Architecte en Chef des Monuments Historiques, fait une proposition audacieuse consistant à démolir les immeubles 5, 7, 9, 11, 13 et 15 pour ouvrir sur la rue Visconti les jardins privés de l'îlot pour en faire un jardin public. Ce projet est écarté mais il met en lumière l'état d'insalubrité avancé de cette portion de la rue. Plutôt que démolir, la Commission du Vieux Paris préconise, toujours en 1961, que les immeubles numéros 13 et 15 soient "conservés et remis en état pour garder à cette rue son caractère ancien et pittoresque auquel s'attache le souvenir de Balzac".

En 1969, une étude préalable est lancée pour déterminer l'avenir de cette parcelle, toujours propriété de la Ville de Paris. Dans un premier temps l'étude de 1969 envisage la création d'un habitat social uniquement sur la parcelle du 13 mais le projet prend de l'ampleur et s'étend au n°15 qui devra être démoli. Finalement, le Conseil de Paris, par délibérations en date des 9 juillet 1970, 21 décembre 1970 et 22 décembre 1971, décide l'affectation des 2 terrains domaniaux d'une superficie totale de 955 mètres carrés en vue de la création d'un foyer-logements et d'une crèche. Les plans de l'ensemble social sont dressés par la Sous-direction de l'Architecture de la Ville de Paris, qui assurera la maîtrise d'ouvrage et par François Carpentier, architecte..."(3)


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Vues intérieures de l'atelier...(3)

L'atelier La Mache doit donc quitter la rue Visconti, ce sera en 1973. Il ira s'installer rue de Mézières, rue donnant sur la place Saint-Sulpice dont l'angle est occupé par Central 6, le commissariat de police du quartier !

L'atelier organisa une grande fête de départ à laquelle allaient participer la Fanfare Aimé Visconti, 2ème du nom, nouvelle fanfare de l'atelier La Mache, appelée ici Fanfare des Nouvôs, la Fanfare Octave Callot, fanfare qui avait résisté à la dislocation de 1968 mais qui avait perdu bon nombre de ses membres d'origine et associés ex-Malaquais et la fanfare Bonaparte Visconti (4), fanfare qui tenait le haut du pavé depuis 1970 :

" Bonaparte Visconti née de l'association de la fanfare Prosper PICPUS de l'école Boulle, dirigée par Noël HERVÉ et Madeleine BONAPARTE dirigée par Gilbert SANTACANA s'illustra dès 1969. Dominique POIRIER transfuge de Visconti ayant rejoint cette formation, m'incita à y prendre part. Très heureux de jouer avec des garçons plus jeunes que moi (les frères Thorel avaient 18 et 19 ans à l'époque , Fronza de même), je m'y'investis rapidement comme arrangeur, altiste et tromboniste. Le niveau musical de ces jeunes gens rivalisait facilement avec celui des Callot, avec lesquels nous avons fait quelques sorties mémorables. Cette fanfare a beaucoup joué de 70 à 74. Après le départ de Noël Hervé vers 1971 puis de Santacana en 1972, la formation se réduit quelque peu..."
(Jacques ARBOUSSET)
Lharidelle raconte(4) :
"Lors d'un passage à Paris en juillet 72, Lharidelle tombe, par le plus grand des hasards, rue de Seine sur Pacaud, qui s’émerveille : " Ah bon ? Tu viens pour le bal ?". De quel bal s'agit-il ? Et c'est comme ça qu'il apprend que l'atelier La Mache, rue Visconti, où il a passé tant de nuits de charrettes, va être démoli le surlendemain, et qu'en attendant, les Othello Visconti y organisent un bal à tout casser. Callot lui trouve une basse et il participe ainsi à ce qui peut être considéré comme la dernière prestation à parfum malaquéen.
La fête est grandiose, trois fanfares se relayent et Genzling(5) en assure l'enregistrement..."

Pour tous ceux rencontrés, présents à cette fête, celle-ci reste gravée dans leur mémoire. L'atelier La Mache avait, en dehors de son enseignement, la réputation d'organiser de magnifiques fêtes et pince-fesses, nul doute que cette dernière a été à la hauteur de la réputation de l'atelier en la matière.
Lharidelle parle des trois fanfares qui se relayent mais si la fanfare Aimé Visconti était une bonne fanfare, elle était jeune et correspondait à tout ce que l'on peut attendre d'une fanfare d'atelier. A contrario, la fanfare Octave CALLOT était forte de ses 15 ans d'existence, de la gouaille de se son chef et l'importance de son répertoire. Quant à Bonaparte Visconti, elle était composée de jeunes musiciens menés par un habile chef de fanfare attaché à un répertoire jeune et neuf. Ces deux fanfares se sont donc illustrées ce soir-là en une forme de joute entre jeunes et plus anciens.

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Recto de la pochette

Le disque, produit par la Grande Masse sortit dans une pochette officielle entièrement dessinée par Ahmédée, truculent membre de la fanfare Léon MALAQUAIS, auteur d'un nombre faramineux de dessins humoristiques et quelques ouvrages commis avec Lharidelle dont l'inévitable recueil de contrepèteries illustrées SaGesse n'est pas Folie. Ahmédée représente ici la Grande Fanfare des Beaux-Arts regroupant tous ses membres, sortes de petits monstres à l'appendice nasal prolongé d'un tuyau muni de pistons et finissant par un pavillon, aux oreilles en pavillon (normal !), vêtu de l'inévitable marinière avec nœud papillon noir et coiffé du melon. Trouvez l’exception : le gardien de l'école... "On ferme !"

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Recto de la pochette

Le verso est à l'image du recto, une page coupée en deux verticalement avec, à droite, un autre dessin d'Ahmédée, illustration représentant le même fanfaron-trompette jouant des grandes orgues : "Je suis rentré dans les orgues, je reviens de suite... J.S.Bach".
A gauche, les morceaux et les fanfares les jouant, ainsi qu'un rappel discographique sur lequel on notera une erreur due à un décalage dans les références des disques Malaquais.

Notons que sur le recto comme sur le verso, il est indiqué par le "1" que ce disque se voulait être un premier volume d'une série de disque que devait sortir la Grande Masse, série se terminant aujourd'hui par... celui-ci ! D'où la référence du disque FBA 1.30 pour Fanfare des Beaux-Arts, volume 1, 30 cm.
A cette pochette officielle, ce disque se verra ajouter une autre conçue et réalisée par l'atelier La Mache. L'atelier voulait ainsi célébrer son départ de la rue Visconti pour rejoindre la rue de Mézières, 5ème adresse de l'atelier après la rue Madame en 1881 (Paul BLONDEL, chef d'atelier), la rue de Lille en 1898 (Georges SCELLIER de GISORS, successeur de Blondel), un petit passage à l'École des Beaux-Arts en 1927 (7) et donc, la rue Visconti depuis 1929 (Alphonse DEFRASSE, chef d'atelier). Cette pochette en deux volets reprend sur trois de ces pages un trombinoscope des personnalités de l'atelier d'une part, de l'école d'autre part. La troisième de couverture reprend une coupe de l'atelier de la rue Visconti.

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Pochette Atelier La Mache - 1ère de couverture(6)

Michel VINCENT
(Malaquais)
X
(pince-fesse 53)
Charles Le CHEVREL Georges BOUCHE N. HADJIMICHALIS Jacky BOULET Carlos ALVAREZ
Guy FICHEZ X Marc CENDRIER X
(Bruxelles 53)
Marc SALMON X Michel LONGUET
X
(Bruxelles 53)
Faugeron X X X
(4 z'arts 27)
Bourbon Guérin
X
(pince-fesse 56)
Axel MESNY Marty X
(4 z'arts 27)
Foliasson (?) X
(4 z'arts 32)
Pucinelli
X X
(pince-fesse 56)
Cazals Blondel Cambournac Hardy Jean-Pierre CAMION

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Pochette Atelier La Mache - 2ème de couverture(6)

X
(pince-fesse 56)
X
(4 z'arts 27)
X Bertrand Vincent X X
Zebrelle Defrasse D. DESCAMPS Lagache X Arbousset X
Cazalières
(4 z'arts 32)
Michel DAY X X
(pince-fesse 37)
X X X
(pince-fesse 53)
Jacques DENIS X X X Dominique SAINT-JEAN X X
(pince-fesse 56)
X
(4 z'arts 32)
X
(4 z'arts 32)
Paul LA MACHE X X Marc SALMON X

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Pochette Atelier La Mache - 3ème de couverture(6)

Ce volet de la pochette représente la coupe de l'atelier rue Visconti. On entrait par le 15, la double porte en bois du 13, un des rares éléments ayant été conservé actuellement étant condamnée. Puis de la cour, on rejoignait l'atelier par la porte après les escaliers illustrés ici à droite.
Il semble qu'il y ait une erreur sur cette pochette : la date de 1931 comme étant celle d'arrivée de l'atelier Defrasse rue Visconti. D'après le bulletin de la Grande Masse du mois de juillet 1929 (8), l'atelier Defrasse a déménagé officiellement depuis le 26 rue de Lille au 13 rue Visconti le 15 juillet 1929.
Dans son livre de mémoires, Guy FICHEZ (9) se pose déjà la question de cette date et la date au début des années 30 en basant ses recherches sur les livres d'or de l'atelier comprenant encore des courriers, des invitations ou menus des Diners de l'Atelier. On retrouve ainsi un courrier de 1929 adressé au 26 rue de Lille mais l'invitation du diner du 3 mai 1931 au 13 rue Visconti. Malheureusement, pas de lieu sur le diner du 3 mai 1930...

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Pochette Atelier La Mache - 4ème de couverture(6)

X
(47)
Stéphane MIGNOT X Gérard SACQUIN Marchand X
(Loges 36)
Dubuisson (?)
Calmettes d'Aubigny V. DUNIN Quentin D. DESCAMPS Dengler X
(pince-fesse 53)
Binet Cazals Bourbon Hur Kaligas Lebas X
X G. BOUCHE X Hilt Frichet X X
(43)
Vincent Goubert Ansolani (?) X X
(pince-fesse 37)
Carlos ALVAREZ Zavaroni

Coté microsillon, on est gâté, tant on assiste à une réelle qualité musicale au milieu d'une belle ambiance de fête. L'enregistrement est efficace et laisse ressortir cette atmosphère sans prendre le dessus sur la fanfare. Le premier morceau, Beer Barrel Polka, un vrai saucisson traditionnel, par la fanfare Aimé Visconti (fanfare des Nouvôs) nous met dans l'esprit des fêtes d'atelier. Puis le disque est un enchainement entre Octave CALLOT et Bonaparte Visconti. Octave CALLOT est fidèle à lui-même, truculent, nous offrant ses interprétations champêtres dont il est passé maître comme Les Grands Flots Bleus ou La Pendule. Il ne laisse pas non plus de côté les marches qu'il affectionne comme celle du Colonel Bogey ou Aus der Jugendzeit (écrite en 1859 par Vertonung Robert Radecke comme chacun sait...) Octave Callot finit par un Nina Pancha dont il a le secret, un paso à la sauce viennoise (sic).

La couleur change du tout au tout quand Bonaparte Visconti interprète En Er Mundo, autre paso à la sauce espagnole cette fois bien que rapide (comme majorité des pasos interprétés par les fanfares des Beaux-Arts). Le style de Bonaparte Visconti est vif et musclé, ils ne sont pourtant que 10, passant des Beatles avec Obladi Oblada à un répertoire jazz dans l'esprit de King Oliver avec Sweet Muntaz, What Do You Want Me To Do ou encore Tiger Rag. Visconti laisse une large place aux solos et chorus notamment dans Sweet Muntaz et Tiger Rag dans lequel on peut entendre l'un des premiers chorus marquants de souba dans les disques de fanfare. Sans nul doute, Fronza marque là les esprits (en tout cas, le mien) sur l'idée que l'on peut se faire de cet instrument en fanfare.

Et comme toute bonne fanfare ne peut que se faire chambrer, cette phrase devenue fleuve : "vous n'êtes pas aussi bon que Callot mais quand même, vous n'êtes pas mauvais..."

Le disque se termine par un émouvant Aul Song Syne (Ce n'est qu'un au revoir) dont Lharidelle parle dans ses mémoires :

"...Au petit matin, quand les Visconti, sous la baguette d'un Arbousset visiblement ému, attaquent Auld Lang Syne, il y a des regards qui se voilent. Et quand ils s'arrêtent, personne dans l'assistance encore nombreuse, en cette heure matinale, n'osera bouger, pendant un long moment..."

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Bonaparte Visconti à l'enterrement de l'atelier La Mache rue Visconti

FACE A FACE B
  • Beer barrel polka (a)
  • Sweet montaz (b)
  • Les Flots bleus (c)
  • Obladi oblada (b)
  • La pendule (c)
  • La marche du Colonel Bogey (c)
  • Aus der jugendzeit (c)
  • Nina Pancha (c)
  • En er mundo (b)
  • What do you want me to do (b)
  • Tiger rag (b)
  • Aul long syne (b)

Nous avons évidemment recherché quels étaient les fanfaristes qui jouaient ce soir-là :

(a) - FANFARE DES NOUVÔS (AIME VISCONTI) :

Trompettes / Cornet : Dominique SAINT-JEAN, Dominique DESCAMPS, Patrice HERPE,
Trombone : Jean-Pierre BOSQUET (Jules), Franck HINDLEY, Patrice OKOROKOFF (Oko),
Trombone à pistons : Jean-Pierre MONTMASSON,
Barytons / Basses : Thierry BOUCHET (Titi), Jean-Pierre BRUNERIE (Barbot), Jacques DENIS, Yves GRANDPERRET, Marcel LEBERRE (Béberre),
Hélicon : Richard BLIAH, Gérald KERSAUSON, Hughes LEGRIS de la SALLE,
Grosse Caisse : Jean GOSSELIN (Gogosse),
Caisse Claire : Alain NICOLAS,
Banjo : Jean-François SCHMIT.

(b) - BONAPARTE VISCONTI :

Trompettes : Dubois de PRISQUE (Benoit), Dominique POIRIER, Daniel THOREL,
Alto / Trombone : Jacques ARBOUSSET,
Saxhorns baryton : Gérard THOREL, Christophe NOZI,
Clarinette / Sax soprano : Joël FLORENT,
Souba : Daniel FRONZA,
Batterie : Georges GILBERT (Gigi),
Banjo : Dan GIRARD.

(c) - OCTAVE CALLOT :

Trompettes / Cornet : Bernard CHOLLET (Schultz) , Robert BOISSONADE (Grand duc), Alain VAULAY (Volo), Jean-Paul DURAND (Poldu), Michel WEBER (Her Web),
Alto: Agnes CHAUMAT,
Basses : Yves POINSOT (Octave Callot), Gérard SCHOPFER (L'Assureur), Alain VILLEMINOT (Adrien LHARIDELLE, invité surprise)
Trombone : Yves BERIER (Grand Béru), Bernard CHAUMAT (Chaumette), Thierry BERIER (P'tit Béru),
Flûte : Hervé HUET,
Contrebasse : Patrice CHARBONNEAU (Poulou), Robert PHILLIPOT,
Banjo : Vincent GIELLY (Toutoune),
Percussions : Gérard HERVÉ (Gégène).

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Macarons des faces A & B du disque

Le disque sort donc en 1973, édité par la Grande Masse sous la référence FBA 1.30, c’est un microsillon de 30 cm, 33 tours et porte le titre de « Fanfares des Beaux-Arts».
Ce disque n'a jamais été réédité.

Nous vous laissons ci-après l'opportunité d'écouter sur ce lien.

Notes :


(1) Article de Christophe SAMOYAULT-MULLER sur la filiation de l'atelier Blondel. (retour)

(2) Otello (et non Othello, une faute d'orthographe que l'on retrouve régulièrement) Zavaroni, Chef d'atelier avant Paul La Mache. (retour)

(3) Source: https://www.ruevisconti.com/ImmeubleNoParNo/13.html, photos: B.E.-R. (retour) (4) Histoire édifiante et véridique de la grande fanfare Malaquais - Lharidelle évoque 1972 mais il s'agit de 1973. De même, ce n'est pas Othello Visconti mais Bonaparte Visconti... (retour)

(5) Genzling, polytechnicien, architecte, trombone chez Arretche. Genzling a supervisé cet enregistrement réalisé par Francis Valois (retour)

(6) Merci à Guy FICHEZ d'avoir remis, autant que faire se peut, un nom ou un lieu et une date sur ces photos. Si, par ailleurs, l'un de nos lecteurs reconnaissait un portrait resté non identifié, ou un lieu ou encore une date, merci de bien vouloir nous renseigner (par mail à la Grande Masse, merci). (retour)

(7) Lettre du Ministre des Beaux-Arts donnant instruction au directeur de l'École des Beaux-Arts d'installer les ateliers Laloux-Lemaresquier et Defrasse-Madeline dans une salle contigüe à la Melpo. Juillet 1927. (retour)

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Lettre du Ministre des Beaux-Arts.

(8) Bulletin de la Grande Masse dumois de juillet 1929 indiquant le déménagement officiel de l'atelier Defrasse au 13 rue Visconti le 15 juillet. Je ne m'explique pas cette indication de 1931 sur la pochette. (retour)

(9) Guy Fichez - Le Cru des Beaux-Arts – EdiLivre. (retour)

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Bulletin Juillet 1929 - Couverture

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Bulletin GMBA Juillet 1929 - Page Informations